Stuart Weitzman Garrice
26 rue Saint Antoine 75004 Paris
30 rue de Rivoli 75004 Paris
40 boulevard de Charonne 75020 Paris
alors mon blog il parle de... et de ... et puis de ... et encore de ... et enfin de ... Bref vous comprenez quoi !
Stuart Weitzman Garrice
26 rue Saint Antoine 75004 Paris
30 rue de Rivoli 75004 Paris
40 boulevard de Charonne 75020 Paris
Libellés : L'objet de mon attraction, Obsessionellement mode
Publié par lepetitmoutonaimelamode à 16:16
Pour :V... Vintage ! ça y est c'est dit !!! Ce mot est dans toutes les bouches et les ventes fleurissent... Même Wad (le magazine) s'y met...
Libellés : Shopping à Paris, Vintage you said ?
Publié par lepetitmoutonaimelamode à 18:00
Dans cette série, Lars Tunbjörk nous montre la Suède comme on ne l'a jamais vue. Loin des clichés qu'on lui connait, elle nous apparait plus vrai, plus triste que ce que l'on imagine à savoir un pays tout blanc de neige imaculée (mais la neige peut-elle rester imaculée ?) rempli de belles personnes grandes, minces et blondes et vivant dans des jolies maisons en bois rouge, joliement amménagée par IKEA... Mais en alternant intérieurs et extérieurs, en nous empêchant de nous rassurer par la contemplation d'une "belle" image, Lars Tunbjörk nous embarque dans une frénésie d'images qui rompent radicalement avec cet imaginaire. L'acuité et l'humour (noir) de son regard nous fait prendre conscience de ce qu'est notre monde, et peut être aurait-on préféré rester dans notre imaginaire...
Alors pour commencer, ce film est tout sauf ce que j'attendais ... à savoir une comédie romantique à l'américaine : simple, efficace et qui te fait penser que peut être Disneyland, ça existe aussi pour les adultes. Trompée par l'affiche et sa lumière hollywoodienne, qui a y regarder de plus près n'est pas si gaie que ça (vous avez vu leurs têtes), je tombe de mon petit nuage dès la première scène : Joaquin fait une tentative de suicide... Ce n'est donc pas une histoire qui nous plonge encore dans nos illusions de petites filles mais une histoire qui nous en sors, qui nous ramène sans ménagement vers la réalité, vers la mélancolie de la vie, vers son amertume, vers "le coup de foudre mutuel n'existe pas" et "ils se marrièrent pour ne pas être seul"... Leonard est dépressif depuis sa rupture avec sa fiancée (pour raison médicale : incompatibilité à procréer... où va la société ?). Michelle est amoureuse de Ron qui est marié et ne semble pas près à tout quitter pour elle (déjà vu ?). Sandra tombe amoureuse de Leonard, alors que pleins d'autres hommes probablement moins perdus s'intéressent à elle (hum... no comment). Leonard lui aime bien Sandra, mais est obsédé par Michelle... et s'entête. Bref ça commence mal, et ça ne finira pas mieux.
La collection de la BN comporte plus de 3000 tirages de photographes américains, l'exposition en présente 320, et présente logiquement une large partie de l'œuvre de Diane Arbus, la première acquisition de a bibliothèque; suivent Robert Franck, Walker Evans, Marie Ellen Mark, Jeffrey K. Silverthorne, Garry Winogrand, Lee Friedlander, William Klein, Larry Clark, Les Krimms, Joel Peter Witkin, Lewis Balz... pour ne citer que ceux que je connaissais déjà... L'expositon ne présente pas une histoire de la photographie américaine mais un aperçu de la collection, à travers 6 thèmes : les précurseurs, l'influence du snapshot, géométrie et espace, paysage, matière et forme, et le miroir obscur.
Dennis Hopper est un artiste multicarte : acteur, réalisateur, mais aussi peintre et photographe... et muse. C'est ce que cette exposition nous montre. A travers les oeuvres qu'il a produite dans tous les domaines, celles qu'il a inspirées et celles qu'ils collectionnent. Un panoramma qui donne envie d'aller au cinéma...
Je vous jure... je suis juste allée à la vente de presse et elles étaient là, parfaites pour mon pied... j'allais pas les laisser là... quand même; hein, on est d'accord.
des braderies mode et vintage... alors au choix, à moins qu'on ne se fasse les trois :
Braderie A
de 14 à 19h00
Galerie AAA
76 rue Charlot, Paris 3
Métro Filles du Calvaire
Site web
Site Emilie Casiez
Brocante Cherry à la Mécanique Ondulatoire

Malgré une approche commune de la série, tous ces photographes ne semblent pas partager beaucoup de choses. Et ce n'est pas la maigreur des explications données par le musée, masqué espar un charabia de critique d'art, qui nous éclaire... Il me faudra beaucoup de lectures et de recherches pour répondre aux interrogations que soulève cette exposition dans ma tête ou même pour en formuler certaines. Vous verrez peut-être un jour le résultat de ces recherches (si ce n'est de ma réflexion, sur blogounet... en attendant vous pouvez lire le très bon article du blog du monde : ici.
Et nous on va enfin pouvoir envisager de changer d'opinion sur les américains... et suivre leur exemple mais à défaut d'avoir dans le paysage politique français un représentant d'une minorité ethnique important dans un des partis leaders, on pourra avoir une femme, ou mieux un homosexuel comme prochain président... Moi ? exprimer une opinion politique sur mon blog ? Non, c'est votre imagination...
Alors quand on lit le pitsch du film, on se dit que ça promet une belle catastrophe : un pays frappé d'une épidémie fulgurante de cécité, qui panique et mets en quarantaine les personnes contaminées, en les laissant sans assistance et en autogestion. Sauf que c'est un film de Fernando Meirelles et qu'il y a Julianne Moore et Gael Garcia Bernal au casting, les trois étant des indices majeurs de bons films à ne pas manquer. On n'oubliera pas pour le premier : La Cité de Dieu ou The Constant Gardener, pour la seconde : Magnolia, The Big Lebowski, I'm not there, The Hours ou Cookie's Fortune et pour le troisième : Amours Chiennes, Le crime du père Amaro, La Mauvaise Education, ou La Science des Rêves. Alors c'est finalement avec assez peu d'hésitations que je suis allée le voir... avec raison, n'en déplaise aux critiques.
Il me semblait vous en avoir déjà parler... c'était même une évidence, mais non. J'aurai pourtant dû après ce concert phénoménal avec les Pupinni Sisters début avril... Vous savez ce genre de concert où le temps ne passe pas, où il y a une énergie hallucinante... et où on se dit waouh, le jazz fait encore danser les gens ! J'aurai pu vous en parler aussi après leur passage à Paris Plage... pour vous dépeindre ma déception devant cette performance de fête foraine, où l'absence de la clarinette était cruelle, et le remplacement de la chanteuse (Colotis Zoé) par une pâle copie sans classe était effarante.Ca c'est la saison dernière, des fois que tu aurais des relations...
Photo Rod/Le Hiboo
Libellés : Obsessionellement mode, Vintage you said ?
Publié par lepetitmoutonaimelamode à 23:10