mardi 5 mai 2009

DVD session

Basée sur le roman d'Ira Levin aujourd'hui considéré comme classique, l'histoire de ce film aujourd'hui considéré comme culte tourne autour de Rosemary Woodhouse (Mia Farrow), une jeune maîtresse de maison, et épouse d'un acteur de théâtre, Guy Woodhouse (John Cassavetes). Le couple souhaite fonder une famille et s'installe dans un appartement de la célèbre maison Bramford, un vieux bâtiment de Manhattan assez inquiétant du fait de la réputation sinistre de certains résidents d'autrefois. À la suite de circonstances bizarres, les Woodhouse nouent amitié avec Roman et Minnie Castevet, un couple de personnes âgées qui vit au même étage et qui deviennent vite omnoprésent. Bientôt, Guy accède au désir de Rosemary d'avoir l'enfant qu'elle souhaite tant et ils envisagent la date idéale pour que Rosemary soit enceinte. Cette nuit-là, Rosemary a des hallucinations et des cauchemars, au cours desquels elle a l'impression d'être violée par un être étrange et effrayant. Quand elle se réveille, Guy s'excuse d'avoir fait l'amour pendant qu'elle était inconsciente.... Bizarre, vous avez dit bizarre ? Ce n'est que le début.

Alors oui c'est un film culte, mais il date tout de même de 68, ce qui en soit ne veut pas dire grand chose, mais là, cela sinifie qu'il est daté... les effets spéciaux sont euh bah euh, et l'histoire un peu... Bah voilà. ça c'est une critique, hein ?

Jonathan est un collectionneur, il collectionne des objets de sa famille... Mouaif, en fait on va garder le pitsch Allociné parce qu'on est fatiguée : Jonathan, un jeune Juif américain, se rend en Ukraine pour retrouver la femme qui sauva son grand-père durant l'invasion nazie.Ce voyage, entamé dans des circonstances les plus absurdes, avec le fol espoir de recomposer l'histoire d'une famille, sera marqué par une étonnante série de révélations - sur le devoir de mémoire, le poids et les périls des secrets, le legs de l'Holocauste, le sens de l'amitié et, plus encore, de l'amour.

C'est une nouveau genre de road movie où la poésie est partout : dans l'histoire, dans les personnage, dans leur recherche de leur passé, dans le texte et dans l'image aussi, dans le cadrage, et dans la lumière. Ce film est un bijou, à voir et à revoir.


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