dimanche 26 décembre 2010

Je ne sais qu'en penser...

jeudi 23 décembre 2010

A Tartan Tale

M∙A∙C | A Tartan Tale from Fake Love on Vimeo.

jeudi 21 octobre 2010

Bonne crise de rire !

Après une longue absence, rien ne vaut un bon fou rire, et celui là, je le dois à Karl, car après avoir vu son expo, j'ai fait un tour sur son site, et je suis tombée sur ça :



Alors merci Karl, car ton talent n'est pas à la hauteur de ta mégalomanie, et si tu es un superbe couturier, un personnage sublime et un bon photographe, tu es un bien piètre réalisateur ! Et cela nous rassure, nous pauvres mortels, que l'on peut essayer, car tu ne réussi pas partout !

jeudi 24 juin 2010

Maria Nilsdotter

Un petit coté Pamela Love, mais pas que ! On LOVE !!


Le blog ici, le shop .

mercredi 23 juin 2010

Love Pamela Love

On a toujours envie de ce qu'on ne peut pas s'offrir...



Plus sur pamelalovenyc.com

mardi 22 juin 2010

The Vamoose

Ces derniers temps, j'ai des envies... de tout... mais surtout de bijoux.

Dernier en ligne de mire : The Vamoose.


Le blog ici, le shop .

mercredi 19 mai 2010

My nails are capricious too !!

1 vente de presse, 2 ventes de presse... 1000 ventes de presse!


Quand vous aurez écumé les ventes de Marie Bon Plan et que pourtant vous n'aurez pas vider votre compte en banque, il restera celui-là. Je ne les connais pas, mais une vente est une vente, et on ne connait jamais assez de jeunes créateurs.

samedi 15 mai 2010

Opi aime le cinéma !!

OPI ou comment avoir le cinéma au bout des doigts ! Après Alice, voici Shrek. Reste à voir si ça nous plait !


lundi 10 mai 2010

Alexander Mcqueen chez Anna Sand


Comme tout le monde, j'ai été émue par la mort de McQueen, parce que j'ai toujours aimé ses créations, son génie, sa folie. Et puis, égoïstement, je me suis dis que jamais je n'aurai l'occasion de me payer une de ses merveilles, mon avancement dans la vie et mes ressources étant loin de suffire à assouvir mes fantasmes de mode.
Jusqu'à aujourd'hui, 17h00, où un brin d'espoir est apparu, avec la vente Adèle Sand.
Sauf que voilà, le stock semblait petit, à 17h07, les modèles me faisant de l'œil à mon portefeuille, tous sold out ! Quelque part, c'est préférable, car j'aurai été dans un dilemme atroce : en ais-je besoin ???
Next time. No time ? We'll see...

Peut être aurez-vous plus de chance que moi, c'est par .

Session de rattrapage...

Je suis en retard, en retard, criait le lapin d'Alice, eh bien autant ne pas aller voir Alice, car si Tim Burton est mon maitre, cette fois-ci je ne le suis pas. C'est une crise de mégalomanie ou bien ?? Car pour passer deux heures dans le noir, je préfère plonger dans la nostalgie dirty-dancienne de l'Arnacoeur, une vraie bonne comédie romantique (française vous êtes sures ??) ou devant l'étonnant revirement de ton de Fatih Akin qui nous régale dans Soul Kitchen. Pour un peu d'action ou de drame on choisira le Ghost Writer de Polanski, un peu manichéen certe, mais la photo est fabuleuse, éventuellement les Chèvres du Pentagone pour un peu d'humour Clooneyien, mais on évitera Chloé, remake de Nathalie par Atom Egoyan. A croire que les prénoms sont de mauvais augures pour le cinéma ses jours-ci !




Mammuth

J'ai beaucoup de retard dans mes critiques de films, alors pour celui là, vu hier, je bats le fer pendant qu'il est chaud !!

Je n'ai pas du tout, mais pas du tout aimé ce film !!! Ni l'image, ni l'humour, ni l'histoire !
C'était trop glauque, trop triste, et trop zarb pour moi. Mais ce n'est pas parce que cette comédie désespérée est mauvaise, loin de là, ce n'est juste pas mon univers. Non pas que je sois étroite d'esprit, mais là, c'est beaucoup trop loin de chez moi !! La seule réussite du film à mes yeux est de redonner à au monstre sacré égaré (Depardieu enfin !!) un rôle qui lui convient absolument et dans lequel il excelle.

samedi 8 mai 2010

Les bons plans du week end !!

Parce que toutes les editions sont biens, cette fois-ci : 6 créas permanentes & de la Beauté + 12 jeunes créas le samedi & 12 nouvelles le dimanche + 10 bradeuses le samedi & 10 autres le dimanche. Bref, on réfléchis pas, on y va !


La Braderie Chic revient cette année chez Hôtel Particulier du 7 au 15 mai, donc vous avz toute la semaine pour y aller, si jamais vous avez migrer au soleil pour le week end. Car la Braderie chic, c'est l'occasion de dénicher les trésors de mode de Jean Paul Gaultier, Isabelle Adjani, Emma de Caunes, Lou Doillon, Melle Agnès, Chantal Thomas, Marc Levy, Emmanuelle Béart, Jean Dujardin, Alexandra Lamy... et bien d'autres ! Car oui, ils ont décidé de trier leur dressing pour la bonne cause : celle de Parole de femmes, association à laquelle tous les bénéfices seront reversés !

lundi 26 avril 2010

On n'a jamais assez de yukevitch dans son armoire...


En 38 !!!

dimanche 25 avril 2010

Like a Rocket !!!

Gaspard forever !!!


Entre Gaspard et moi, c'est une véritable histoire d'amour... ma dernière paire n'est pas moins que la 5e depuis le coup de foudre entre mes petons et ses shoes canon. Et de saisons en saisons, je ne peux pas m'empêcher de craquer. Cette année n'a pas loupée, et j'aurai pu partir avec une deuxième paire si les sandales lacées roses avaient existées en 38...

si vous voulez, vous aussi, parer vos pieds de stilettos de 12, la boutique solde toute la nouvelle collection à -50% :


Merci Gaspard !

samedi 10 avril 2010

Ce week end !!

lundi 29 mars 2010

Stick Drop Top !


J'adore ces stickers, seulement voilà, on ne les trouve plus. Le temps que je me décide, oops, sold out !
Personne ne sais par hasard, si il en reste caché quelque part ?
Oui je sais le stickers c'est fini, c'est quasi has been. Oui mais pas ceux là !!

Balloons !!!!!!!

En ce moment, j'ai plus des envies de déco que de mode... va savoir pourquoi.
Récemment j'ai flashé sur ce lustre :


Bon alors c'est totalement impensable d'avoir ce lustre chez soi (de par son prix, de par sa taille), vu que je me suis pas encore décidée à louer Versailles, m'ai j'aime quand même beaucoup ce lustre de Mattéo Gonet pour Triode Design, et puis comme ça on arretera de medire que je ne connais que Ingo Maurer en luminaire !

dimanche 28 mars 2010

Nine


On l'attendait ?? Bah fallait pas ! Non vraiment, je ne dis pas ça méchamment, je suis juste déçue...
C'est long, c'est chiant, les actrices sont toutes plus ridicules les unes que les autres dans leur numéro de chant en sous vêtement ! Et c'est quoi cet accent italien mafieux !
Quand on veut faire du Fellini... quand on est pas Fellini... on s'abstient !

Envy & Be Magazine


Ces deux magazines, à force d'en entendre parler, on les attendait. Chacun leur tour, avec un teasing publicitaire plus ou moins affligeant, nous a fait bondir au kiosque un vendredi après midi (en l'occurence avant de prendre un train, les deux fois). D'ailleurs il faudrait m'expliquer ce que c'est que cette nouvelle idée de faire sortir les magazines le vendredi plutôt que le lundi... on lit plus de conneries le week end ?
Et chacun leur tour nous ont déçu, enfin pour ma part. Car Envy est un remake de Grazia sur du mauvais papier, et Be est un mix de Envy et de Public... Bref on achète que quand on a fait le tour du kiosque, limite je crois que je préfèrerai lire automagazine...

samedi 27 mars 2010

Une Education

On reste dans une esthétique 60's, en Angleterre cette fois. Lone Scherfig met en scène le scénario impeccable que le romancier Nick Hornby a tiré d'une histoire vraie. Avec une histoire d'amour entre une adolescente de seize ans et un trentenaire londonien tirant vers le gentleman cambrioleur, on pourrait vite tomber dans la leçon de moral ou le libidineux. Mais ce n'est pas le cas, on nage en pleine subtilité et on se laisse porter par la finesse du jeux des acteurs, en particulier par Carey Mulligan, une actrice que l'on va suivre !!



Critiques à lire aussi : Libération, Télérama et le Monde.


A Single Man de Tom FORD


A single man était un des films les plus attendu de ce début d'année, attendu au tournant dirais-je même car il s'agit du premier film de Tom Ford, une de ces personnes hyperactives, touche-à-tout et talentueuses, un brin agaçantes pour le commun des mortels.
Alors si il est vrai que le film est carrément esthétisant, qu'il est tiré à quatre épingle, sans un faux pli ni un mot de travers, avec un soucis du détail qui frise la maniaquerie : les décors s'harmonisent avec les costumes (tweed marron glacé sur maison d'architecte en verre et bois), il ne faut pas non plus aller jusqu'à dire que cela confère au film "une saveur artificielle qui masque presque entièrement la tragédie". Car celle-ci est bien présente, et si elle est filmée avec pudeur, c'est aussi parce que le livre de Isherwood a été écrit comme ça.
A single man raconte donc les difficultés d'un homme à faire le deuil de son compagnon, difficultés amplifiées par une société où l'homosexualité n'avait pas sa place. Et c'est un Colin Firth épatant qui incarne cet homme, loin de ses rôles de gendre/mari idéal habituels.

On aime !



Autres critiques à lire : Le Monde, L'Express...

Me revoilà !

Oh j'étais loin ! Enfin j'ai l'impression que j'étais loin, à des années lumières d'ici, en tout cas.
Mais me revoilà, fraiche (?) et avec plein de choses à vous dire. Car si mon blog s'est arrêté un instant, si ma vie fashionnable aussi (on ne travaille pas dans la poussière avec sa dernière petite robe en cuir ou son indémodable trench), ma vie a tout de même suivie son cours, de film en évasion et en découverte.
Je vous raconte ça vite !

samedi 20 février 2010

On attends... I

En tant que grande cinéphile, car j'aurai aussi bien pu m'appeler lepetitmoutonaimeleciné, il y a toujours des films qu'on attends avec impatience. Petit teasing :

My Own Love Song de Olivier Dahan



Pourquoi ce film me fait envie ? Aucune idée.
La BO de Bob Dylan ? Certainement !
Sortie le 7 avril.

Alice au Pays Merveilles de Tim Burton

Ce film, bien sur, dont tout le monde parle, moi compris. Sortie prévue le 24 mars.


Welcome to the Rileys de Jake Scott

Le film du fils de Ridley Scott fait parler de lui, et à Sundance et à Berlin... alors même si je ne suis pas accro du label "vu et approuvé" des festivals internationaux, je me dit pourquoi pas.

The Good Heart


Sortie le 17 mars

Invictus


J'aime beaucoup Clint Eastwood, mais là, je dois dire que je ne suis pas du tout convaincu par Invictus... C'est un spectacle efficace si l'on veut, quoiqu'il faille aimer le rugby quand même, c'est honnêtement interprété, mais sans plus, avec de l'émotion certes, mais grâce à des recettes bien ficelées. Invictus est une éloge de la fraternité, une célébration des vertus réconciliatrices du sport… et de l'outil politique qu'il représente. Malheureusement le film n’esquive pas les poncifs, on est en plein mélodrame politico-sportif, et on s'ennuie. On échappe à l'endormissement par l’admiration qu’Eastwood voue à Mandela et qui transcende le film, grâce à l’interprétation de Morgan Freeman .

vendredi 19 février 2010

Alice in Wonderland Teasing

Tout le monde l'attend, tout le monde y pense, tout le monde s'en inspire... la mode, l'art. C'est le film de l'année ? Sera-t-il à la hauteur de nos espérances ?

jeudi 18 février 2010

New York Sows/Rebecca Taylor

Je ne suis pas une folle des défilés, je ne passe pas mon temps à regarder les photos des shows pour dénicher les fringues que je ne pourrais soit jamais porter, soit jamais me payer, soit les 2...
Mais là, au détours d'un blog je suis tombée sur les images de celui de Rebecca Taylor.
Du léopard, des cuissardes si hautes qu'on ne sait pas si ça serait pas aussi un pantalon..., il n'en fallait pas plus pour attirer mon attention.


Bon après le reste de la collection ne me parle pas trop... moi les tops en soie chichiteuses à l'américaine, ça n'a jamais été mon truc... mais c'est cuissardes !!!!

dimanche 14 février 2010

Always

C'est pas souvent qu'on rigole en lisant un article dans un journal de mode... alors merci Grazia !!

DVD Sessions

Je sais pas vous, mais en hiver, je suis très cooconing et calage de couette avec pile de dvds, parce que je sais pas si c'est pareil pour vous, mais dans ma télé, c'est pas joli à voir. Et dehors, il fait froid !

Petit Florilège :

Je ne suis pas très comédie, j'aime bien quand c'est noir, quand c'est glauque, quand ça retourne les tripes. Et j'ai été servie par ce film de Steeve Mcqueen, où Mickael Fassbender incarne un prisonnier politique en Irlande qui entame une grève de la faim pour faire entendre ses droits...

Encore un film anglais, et selon les lois du genre, ce n'est pas gai, c'est social. Le réalisateur de This is England nous livre ici cependant un peu d'optimisme. C'est magnifiquement filmé en noir et blanc.

Woody Allen, classique. Enfin celui là non, bateau plutôt. Réchauffé un peu, mais pas désagréable, comme un plat qu'on aime bien, sans l'adorer non plus, juste par habitude.


Un des premiers Western de John Wayne... on peut dire qu'il était beau le jeune cowboy. Le genre a encore pas mal de chose à apprendre, c'est un brin manichéen, mais qu'est ce que l'image est belle !!! Sublime noir et blanc dans les paysages du grand ouest, la montagne et les forêts de séquoias. Du grand art. Et quelle scénographie !! Bref un petit trésor, parfait pour une soirée d'hiver.

♥♥♥

samedi 13 février 2010

Alice

Alice au Pays des Merveilles est partout !! Avec la sortie du film de Tim Burton qui approche, on va en manger à tout les repas. OPI par exemple, lance une mini collection Alice inWonderland pour l'occasion, en exclu chez Séphora, dès mars.

vendredi 12 février 2010

A Serious Man


Alors pour être déçue, je suis sérieusement déçue (ohohoh). Les frères Coen ont certes toujours filmé des pauvres types, des êtres sans cesse renvoyés à leur petitesse, ou à la cruauté du monde, mais ils ont rarement filmé un personnage aussi chiant que cet homme si sérieux, que qui le sort semble s'acharner sans relâche. Et ils ont l'air de ne jamais avoir autant pris leur pied qu'en le filmant, lui, être misérable. Je ne sais pas si c'est le fait que The Big Lebowski soit assez insurmontable comme chef d'œuvre et que l'on sort forcément déçu par chaque nouvelle production du duo, ou si c'est vraiment l'histoire de ce film sur la judéité dans des banlieues pavillonaires américaines qui nous accable.
Et si ce film est intéressant pour sa part explicative de l'œuvre des frères Coen, il n'est en aucun cas divertissant. Vous me direz, on ne va pas au cinéma que pour se divertir, aussi pour se cultiver, mais après la bande annonce, ou sur une idée préconsue que je m'étais faite, je ne m'attendais pas à ça. J'ai tout de même apprécier la maitrise cinématographique, en particulier des cadrages et des transitions. C'est une belle démonstration sur l'art de filmer : chaque scène est écrite, interprétée et filmée magistralement mais sans vouloir être vulgaire, je dirais que ça frise la masturbation intellectuelle.

A lire : la critique de Chronicart, celle du Monde et celle de Libération.

jeudi 11 février 2010

Hommage à Alexander McQueen

Depuis quelques temps, chaque annonce de décès dans la presse me laisse dans un état de choc. Est ce moi qui devient plus sensible avec l'âge ou est-ce la disparition de ces gens là en particulier qui me touche, je ne saurai le dire, mais c'est comme si les figures emblématiques et inspiratrices de ma vie disparaissaient les unes après les autres : Lhassa au nouvel an, Mano Solo pour mon anniversaire, Rohmer et Sallinger ensuite, et aujourd'hui, dans une autre domaine : Alexander McQueen.
Hommage en images à un génie de la mode :


samedi 6 février 2010

A little bit of poetry


Vanessa Bruno

lundi 1 février 2010

231 mois


Petit Bateau, ça a toujours été une marque chouette. Un message simple, clair, universel, pour des bons basiques indémodables, déclinés dans toutes les couleurs. Mais depuis l'an dernier, tout a changé. Enfin non, pas tout, la communication a changé. Je ne sais pas si c'est pour faire face à Uniqlo et ses basiques multicolores, mais il fallait changer de positionnement. Et petit bateau est devenu rock, avec une campagne s'adressant à tous les âges, avec en figure de proue le groupe MGMT, le tout shooté par un photographe rockissime, l'Islandais Benni Valsson (dont vous avez peut-être croisé le nom dans les Inrocks, Flavor ou Elle).


Là vous commencez à vous demander pourquoi diable je vous parle d'une campagne de l'an dernier... c'est tout simplement parce que cette année la marque continue sur la voie Rock, avec, vous l'aurez deviné, vu que je suis pas la reine du suspens, Izia, une jeune chanteuse rock qui déménage sur scène (et qui n'est autre que la fille d'Higelin, et la sœur de Arthur H). Petit bateau a même poussé plus loin, puisqu'ils ont réalisé un clip sur une chanson d'Izia, à partir d'un nombre incroyable de photos d'enfants supposées représentées Izia à différents âges de sa vie. Les transitions ne sont pas toujours évidentes, mais l'idée est jolie. Le clip aussi :



dimanche 31 janvier 2010

Le cas de la Boots Chloé

Tous les ans, ou plutôt toutes les saisons, il y a un (quand on a de la chance) ou plusieurs accessoires qui nourrissent nos obsessions... mais dont leur prix empêche tout achat, qu'il soit compulsif ou réfléchi... Prenons le cas de la boots Chloé, Susan de son prénom :

Alors oui, elle a été copiée (Topshop ou Office à Londres par exemple) ou elle a inspirée de nombreux créateurs du Sentier (hum) mais au final, nul ne l'a égalé. Et si certaines chanceuse de la bloggo ont pu les financer, elle resteront pour moi une image, un rêve... jusqu'à la prochaine fois.

Car il y a toujours une prochaine fois, car les saisons se suivent et ne se ressemblent pas, ou au contraire, sont semblables. C'est la mode, et c'est bien aussi.

jeudi 28 janvier 2010

In the Air

Alors je dirais que c'est un film parfait à voir en avion, suffisamment rythmé pour ne pas s'endormir et suffisamment peu intéressant pour ne pas pas être un drame si c'est le cas finalement... Il s'oublie de toute façon dès l'aterrissage...

mardi 26 janvier 2010

Max et les Maximonstres


Ça y est, j'ai fini par le voir ce film que tout le monde voulais que je vois... parce que c'était TROOOOOOOPPPPPP BIEEEEEENNNNNN et devinez quoi ? J'ai pas aimer. Bah oui. Quand je veux pas voir un film parce que les pelluches géantes et tout ça c'est pas mon truc, bah si je le vois, les probabilités que ça me plaise pas sont assez élevées, de l'ordre de la certitude même...

Alors si je reconnais que c'est beau, que c'est techniquement fort réussi (le film a été tourné en extérieur, à la lumière du jour, avec des acteurs cachés dans de lourds costumes de 3 mètres de haut. Et même si les visages des monstres ont été travaillés en numérique après, ça reste imrpéssionant). Les paysages sont sublimes, la lumière est dingue, à la fois vibrante, réaliste et sophistiquée (le chef opérateur c'est Lance Acord).
C'est l'histoire qui ne m'a pas plu.
Parce que moi les gamins hystériques j'aime pas. Parce que moi j'ai perdue sans doute mon âme d'enfant, parce que aimer ce que tout le monde adule, c'est pas pour moi.
J'avais pourtant aimé le livre de Maurice Sendak, mais sur papier un enfant turbulent c'est silencieux, non?

Mais la critique de Jérémie Couston dans Télérama retranscrit exactement ma pensée. Alors pourquoi se fatiguer quand on peut citer :
"Farfouiller avec Spike Jonze dans le moi et le surmoi de l'acteur John Malkovich avait été l'un des plaisirs de spectateur les plus excitants de la fin du siècle dernier. Plonger dans la tête d'un garçon de 9 ans ne procure pas, hélas, les mêmes vertiges. C'est que Dans la peau de John Malkovich bénéficiait du script délirant de Charlie Kaufman. Ici, pour tenir en haleine son (jeune ?) public, Spike Jonze n'a que les dix phrases (338 mots) du bouquin de Maurice Sendak... et les 100 millions de la Warner. A l'arrivée, cette association bizarroïde ressemble à ce qu'il faut bien appeler un « accident artistique ». Avant même que l'insupportable Max ne débarque sur son « île enchantée », on rêve de lui administrer une bonne dose de Ritaline pour le calmer. Après, c'est pire : l'escapade chez ses copains à fourrure, tous plus laids les uns que les autres, s'apparente à une torture dont le « sous-texte » n'existe que dans l'imagination des thuriféraires de ce colossal navet. Sérieusement, combien de parents acceptent de jouer aux peluches avec leur enfant plus de dix minutes ? Alors cent, vous imaginez..."





Ce qu'il y a de bien avec les films qui sortent déjà cultes, c'est que si on n'aime pas l'original, il y a toujours une parodie pour nous faire (sou)rire !! Et que de petits bijoux comme ce court métrage de Spike Jonze sortent de l'ombre !





lundi 25 janvier 2010

Gainsbourg, le film

C'est peu dire que je suis très partagée sur ce film... j'ai beau avoir envie de l'aimer, j'ai quand même trouvé le temps un peu long. Je suis déchirée entre l'auto-obligation que j'ai à le trouver génial ce film parce que j'ai une amie dedans, et le fait que je suis quand même pas très bon public. Alors vous aurez droit à deux critiques, une pour, une contre (style genre, l'autre, elle se prend pour Télérama en une seule personne). Bah oui, après Gainsbourg/Gainbarre, voici Bisounours/Bisounar.




La critique du Bisounours

La vie héroïque de Gainsbourg est un conte, et en cela il ne faut pas prendre le titre au sens pompeux du terme, mais uniquement en son sens propre. Gainsbourg est un héros, au même titre que le chat botté, ou mieux, qu'Ulysse. Il est même un héros maudit : enfant juif sous l'Occupation, peintre insatisfait, pour ne pas dire raté, un physique pas facile... Et comme beaucoup de héros d'histoires d'enfant, il a un double, ou un ami imaginaire : la Gueule, une espèce de corbeau en costard noir monté sur échasse. Le travail des effets spéciaux est d'ailleurs fort réussi. Mais ne vais pas on plus vous raconter toute l'histoire, surtout que comme tous les contes connus, on connait l'histoire par cœur.

Le film commence par un merveilleux générique dessiné par Sfar. On se cale dans son siège, on est content. Tout commence avec poésie et jeux. C'est drôle, on en redemande.
L'interprétation des acteurs est fabuleuse, celle de Eric Elmosnino en particulier : son mimétisme est troublant. Ils sont bons, ils sont touchant, ils sont drôles.

Oui mais...

La critique du Bisounar

Il parait que ce n'est pas une biographie, mais un conte... Le conte de Joann Sfar même, genre le mec il est au niveau de Grimm ou de Perault ! Et si la narration a le coté stéréotypé du conte, on n'entre pas tellement dans les détails psychologiques des personnages qui frisent presque la caricature et on ne nous raconte que les grandes étapes de sa vie (celles que tout le monde connait déjà) de manière linéaire et chronologique. Et si le film est parsemé d'apparitions de personnages imaginaires, fleurs de l'imagination du héros (son double maléfique, l'homme à la tête de chou), on ne nage pas non plus en pleine folie, et c'est dommage. Pourquoi ne pas avoir été plus loin ??? Les scènes isolées du chat ou des cornichons paraissent comme sorties de nulle part...

Je parlais en mode Bisounours du casting fabuleux... Mais sérieusement ? Philippe Katherine en Boris Vian ????? Sarah Forestier en France Gall ???? Si le premier tient du sacrilège, le second est d'une cruauté pour tout ceux qui joue, ou on joué du piano debout dans leur enfance !!!
Pour tous les autres acteurs, je suis ok, ils sont bons, excellents même, mais là, non !!

Le film prend tour à tour un ton ludique, enfantin puis poétique. Il devient presque burlesque, puis plus noir, presque cynique et un rien pompeux. Comme la vie de Gainsbourg me direz-vous, oui mais le ton n'en est pas moins décousu, incohérent, comme si Sfar avait voulu faire plusieurs films, ou plutôt comme si il n'avait pas réussi à faire de choix. On accroche, on est ravi même jusqu'à l'arrivée de Birkin, puis c'est trop, et c'est lent, et ça en devient chiant. Less is More. Car à partir de là, le film aligne les anecdotes, les épisodes connus de la vie du chanteur . Et si on n'est pas captivé par l'épisode Birkin, on est assez dépité par celui de Bambou, ou par le lyrisme déplacé des scènes finales, quasi QQ la praline, pour rester polie. Mais pire, le film dépeint lamentablement la fin de sa vie : l'arrivée de Gainsbarre se montre fort gauche et l'autodestruction de Serge Gainsbourg arrive sans raison expliquée et sans lien avec le reste, comme si le fil conducteur du film s'était brisé. C'est filmé par fragments pudiques et incohérents. On sort de la salle avec un goût de trop peu. Il a été trop timide ou pas assez. Ce n'est ni une biographie ni un conte, c'est un brouillon. Si seulement il avait poussé plus loin la folie !!!



Pour critiquer plus, Libération, Le Monde ou Télérama
De jolie chose sur le site : www.gainsbourg-lefilm.com

vendredi 22 janvier 2010

Shoe-ldes

Ils sembleraient que soldes et shoes soient synonymes, mais cela n'engage que moi. Donc j'ai fait les Shoeldes, j'ai shoeldé en somme ! Car voyez-vous, mon inimaginable raison pré-soldes s'est envolée à la vitesse de l'éclair.

Car si je me suis souvenue que les Cosmo convenaient plus à ma fantaisie qu'à la courbe de mon pied malgré leur 50% très attractifs, je suis à un clic de commander les compensées Ash qui me font de l'œil depuis des mois. A un clic oui, car je vais résister cette fois-ci, vous allez-voir, parce que ce n'est pas raisonnable, j'ai dejà shoeldé 3 paires, et puis des compensées en hiver c'est ridicule. Et puis ces compensées-là en été ce n'est pas la couleur ! Oui mais si ça l'était ? tssst pas de ça ici. Je suis raisonnable, mais ce n'est pas dit que je ne change pas encore d'avis...

69€ dès la première démarque/112€ chez Sarenza, mais seulement 80 chez le bazarparisien.com au lieu de 129€/159€

En plus j'ai complètement craqué pour les cuissardes Minelli; version Nubuck en noir... soldée à 132€, une affaire car c'est un basic non? Aidez moi un peu-là, je suis toute guilty... C'est quoi, vous vos frasques soldesques ou shoeldesques inavouables ?????

Et chez Sandro, les boots me faisaient de l'œil, mais après le discours de Dedee sur l'objet convoité, cela ajouté au fait que ça fait des grands pieds, mon attention s'est reportée sur ces boots open-toe en simili python... ultra soldé sur le site des Galeries grâce à Marie Bon Plan et son code à -15%... (MODE15). Pas dit que la qualité soit au rendez-vous pour autant, mais là, je pourrais pas dire, "je le savais pourtant"...

Soldées 147€ partout, 131 sur le site des Galeries avec -15% et les frais de port/Soldées 162€

Et la troisième paire n'était évidemment pas soldée, on ne peut pas faire un sans faute... C'est dans la nouvelle collection Zara que je les ai dégotées :

Elles sont pas belles mes Ersatz de Sandro à 89,90€

Et pour là-haut, je craque ou pas ? je clic ? J'Ash-ète ? et Cosmo, je me fais vraiment une raison ?
Oui je suis grave, allez-y dites-le : j'ai un grain !

Edit du 25 janvier :
à trop tergiverser, mes compensées me sont passées sous le pied !!
si c'est pas être raisonnable ça !!
et je dis ça sans mauvaise foie, aucune.